🎨 LCMC — Quand l’art devient acte de résilience
En 2024, dans un coin tranquille du Québec, je me suis lancée dans l’art. Sans plan marketing. Sans galerie. Juste une envie brûlante de créer.
Mes débuts ? Ils étaient faits de tableaux hésitants, de sculptures légères, de ratés et d’invendus. J’ai connu le silence des expositions désertes, les regards qui ne s’arrêtent pas, les encouragements timides. Mais jamais je n’ai cessé. Parce que l’art, pour moi, n’a jamais été une question de succès — c’est une question de passion.
Je voulais laisser une trace, même si elle était invisible au départ. C’est cette conviction qui m’a poussée à me donner un nom : LCMC. Un nom comme une signature, une promesse, une identité. Un jour, je raconterai ce que ce nom signifie vraiment. Mais pour l’instant, il est le fil rouge de mon parcours.
🌱 De l’échec à la reconnaissance
Avec le temps, mes mains ont appris à écouter la matière. Mon regard s’est affiné. Et peu à peu, LCMC est devenu une voix singulière dans l’art québécois.
Aujourd’hui, je travaille le bois, l’acier, la résine. Je ne cherche plus à plaire. Je cherche à dire. À toucher. À réveiller.
💧 Les LARMES DE LA RÉSILIENCE — Ma première grande collection
Cette année, j’ai donné naissance à ma première collection majeure :
Les LARMES DE LA RÉSILIENCE.
• 5 sculptures en acier, puissantes et vulnérables à la fois.
• 9 tableaux vivants, sculptés dans le bois, peints à l’acrylique, et scellés dans la résine — comme des émotions figées dans le temps.
Chaque œuvre est une histoire de survie, une ode à la force intérieure, une invitation à ressentir.
🖼️ Pourquoi acquérir une œuvre LCMC ?
Parce qu’elle ne cherche pas à décorer un mur.
Elle cherche à raconter une histoire.
À vivre chez vous comme un miroir de votre propre résilience.
À vous rappeler que la beauté naît souvent dans les failles.
Je suis LCMC.
Et chaque pièce que je crée est une larme transformée en lumière.
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